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Articles by Joe Stowell

Le meilleur reste à venir

Pour notre famille, le mois de mars signifie plus que la fin de l’hiver, mais aussi l’arrivée du grand spectacle du basketball universitaire, « La folie de mars ». En tant que fans inconditionnels, nous regardons les tournois en encourageant nos équipes préférées avec enthousiasme. Si nous allumons la télé un peu d’avance, nous avons la chance d’écouter les commentateurs parler du match à venir et de voir parfois les joueurs faire des tirs au panier et des exercices d’échauffement avec leurs coéquipiers.

Éteignez le tableau indicateur

Lors de la réception de mariage de son fils, mon ami Bob a offert des conseils et des encouragements aux nouveaux mariés. Dans son allocution, il a parlé d’un entraîneur de football d’une ville de la région qui, chaque fois que son équipe perdait un match, gardait le score perdant affiché au tableau indicateur pendant toute la semaine pour rappeler à l’équipe son échec. Bien que cela puisse être une bonne stratégie à adopter au football, il s’agit d’une stratégie épouvantable à employer dans le mariage, comme Bob a eu la sagesse de le préciser. Lorsque votre conjoint ou conjointe vous contrarie ou vous déçoit d’une façon ou d’une autre, renoncez à toujours attirer l’attention sur son échec. Éteignez le tableau indicateur.

Possiblement la bonne année

Mon père était pasteur, et le premier dimanche de chaque année, il prêchait sur le retour de Christ, en citant souvent 1 Thessaloniciens 4. Il revenait toujours sur un point en particulier : « Ce pourrait être l’année où Jésus reviendra. Êtes-vous prêt à le rencontrer ? » Je n’oublierai jamais avoir entendu ce sermon à l’âge de six ans et de m’être dit : Si c’est vrai, je suis pas sûr qu’il viendra me chercher, moi. J’avais la conviction que mes parents iraient au ciel, et je voulais y aller moi aussi. Alors, quand mon père est rentré de l’église ce jour-là, je lui ai demandé comment je pouvais en être sûr. Il a ouvert sa bible, il m’a lu quelques versets et il m’a parlé du besoin que j’avais d’un Sauveur. Il n’a pas fallu grand-chose pour me convaincre de mes péchés. C’est ainsi que mon père m’a conduit à Christ. Je lui serai d’ailleurs éternellement reconnaissant d’avoir semé ces vérités en moi.

Taille unique

Jeune, j’aimais beaucoup Noël. Ravi, je me glissais sous l’arbre pour voir quels jouets attendaient que je les déballe. J’ai donc eu l’impression de perdre au change lorsque j’ai commencé à recevoir des chandails et des pantalons comme présents. Les cadeaux d’adultes étaient décevants ! Puis, Noël dernier, mes enfants m’ont donné des chaussettes cool. Je me suis presque senti rajeunir ! Même les grandes personnes pouvaient porter ces chaussettes, puisqu’on lisait sur l’étiquette : taille unique.

Chiens parachutistes

L’histoire des chiens parachutistes de la Seconde Guerre mondiale m’ébahit. Pour le jour J (le 6 juin 1944), les alliés avaient besoin du flair des chiens afin de les aider à éviter les mines et les avertir d’un danger imminent. Or, il n’y avait qu’une façon pour les chiens d’accéder aux lignes ennemies, et c’était par parachute. Les chiens ont une peur instinctive de sauter dans le vide et, avouons-le, ils ne sont pas les seuls. Pourtant, après avoir subi un entraînement de plusieurs semaines, ils ont appris à faire assez confiance à leur maître pour sauter à son commandement.

Pas de pois !

Lorsque nos enfants étaient jeunes, l’un d’eux a dit catégoriquement : « Non ! » quand nous lui avons passé les pois à l’heure du souper. « Non, quoi ? » lui avons-nous demandé. Nous espérions entendre : « Non, merci ! », mais il a plutôt dit : « Non, pas de pois ! » Cela a entraîné une discussion sur l’importance des bonnes manières. En fait, nous avons eu de telles discussions à maintes reprises.

Dans le jardin

Mes ancêtres étaient des pionniers dans le Michigan. Ils ont défriché la terre, l’ont cultivée, et ont planté des potagers et vergers pour récolter des aliments en vue de nourrir leurs familles. Ce goût agraire s’est transmis au fil des générations. Mon père, qui a grandi dans une ferme du Michigan, aimait le jardinage, ce qui peut expliquer pourquoi j’aime jardiner et sentir l’odeur du sol fertile. Cultiver des plantes qui produisent de belles fleurs et prendre soin des rosiers qui ornent et parfument notre jardin avec tant de beauté sont pour moi d’agréables passe-temps. S’il n’y avait pas de mauvaises herbes, ce serait merveilleux !

Le bilan

C’est à ce temps‑ci de l’année que je vais voir mon médecin pour qu’il fasse mon bilan de santé annuel. Même si je me sens bien et que je crois n’avoir aucun problème de santé, je sais que les bilans de routine sont importants, car ils peuvent révéler des problèmes cachés qui, s’ils le restent, risquent d’empirer au point de devenir de graves ennuis de santé. Je sais qu’en donnant à mon médecin l’autorisation de découvrir et de traiter les problèmes cachés, je peux améliorer mes chances de vivre vieux et en bonne santé.

Sur une colline au loin

Il m’arrive souvent de repenser à l’époque où mes enfants étaient jeunes. Un souvenir en particulier m’est très cher, celui de notre routine du réveil. Chaque matin, j’allais dans leurs chambres et je les appelais doucement par leur nom, leur disant que l’heure était venue de se lever et de se préparer à leur journée.

À la recherche de la sagesse

Tous les printemps, les collèges et les universités tiennent une cérémonie de remise des diplômes afin de célébrer la réussite des étudiants qui ont terminé leurs études et qui ont acquis leur diplôme. Après avoir traversé l’estrade, ces diplômés entrent dans un monde riche en défis à relever. Le simple fait de posséder des connaissances supérieures ne leur suffira pas. Pour réussir dans la vie, il leur faudra encore mettre en pratique avec sagesse tout ce qu’ils ont appris.